Un son aigu me poursuit, c’est le silence pourtant qui sonne dans l’interstice de mes osselets et du fond de ce pavillon pique claque et corrige le bruit de mes pas sur le sol entre les herbes noires que je fauche la nuit, alourdie d’un poids rouge et blanc
Je m’entortille en voulant me démêler me mêler au hasard d’un dédale solide et vécu qui m’embrume et m’ennuie au jour le jour dans une bousculade qui me démet de tous mes membres roués et décollés de moi posés là à côté pauvres prolongements vertigineux et si je me hissais vers ce sourire qui me
Il y a des photos qui incitent à les bousculer un peu pour faire vivre autre chose qu'une simple image. Un coup de crayon, non un coup d'index de votre main droite, si vous êtes droitier, et hop un petit dessin... Plus d'images
L’homme Delteil et sa Deltheillerie : un condensé du VRAI à l’état pur, expliqué par les plus SIMPLES évidences et les plus subtiles intuitions, tout ce que l’homme devrait garder d’INNOCENCE au cours de son existence est dans ce GRAND œuvre. J’ai aimé lire … Joseph Delteil
La revue Festival Permanent des Mots n° 19 publie cinq de mes poèmes dans sa rubrique « Libres courts ». Je ne peux les énumérer : ils sont sans titre ! Recours au poème a réalisé en avril 2018 un entretien avec Jean Claude Goiri, fondateur de la Revue Festival Permanent des Mots