Elle était née avant la guerre. Au mois d’août de l’année où les premiers congés payés avaient entraîné sur les routes de France quantités de familles ouvrières. La sienne n’était pas encore de celles qui allaient adopter les loisirs. Son père, arrivé seulement une dizaine d’années plus tôt de Lombardie, quasi analphabète, vivait certainement de manière instinctive le mariage avec la cadette d’un couple de français, mère catholique pratiquante et père aux convictions rigides. (…)
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C’est un bon synopsis. Une anecdote ici ou là pour capter le lecteur. La brûlure aux fesses est un bon exemple qu’il serait bon de tricoter et de répéter.
Votre pratique poétique peut être exploitée ici pour faire d’un sujet un projet.
Peut-être aussi sortir du cheminement chronologique.
Je commencerais par la brûlure et je cernerais les personnages, à la manière de Michon.
Au boulot.
C’est un portrait proche qui à la fois délie mon écriture et la freine. Mais oui vous avez entièrement raison il faudrait fouiller les personnages, à la manière de Michon dites-vous! Puissé-je un jour y parvenir… Merci M’sieur Eric!