A quelles légendes rêver pour entendre les cris des choses fragiles, quand sur les versants de corail la beauté des arbres nous fait pleurer. Un écho imperceptible porte au-dessus de la route le chant des feuilles de braise. Nos corps soudain rodent et se fondent au dehors en ossements moutonneux. Et notre image se tient dressée dans le miroir de nos souvenirs.
Poésie-fiction