Poème d’Emily Brontë qui nous rend chers ces êtres partis …
Tu devrais ignorer toute désespérance
Lorsque la nuit brille une étoile aux cieux
Lorsque le soir épand son humide silence
Quand le soleil dore l’air brumeux.
Là tout chagrin devrait finir, bien que les pleurs
Puissent d’un fleuve imiter les détours.
Les plus chers de nos ans ne sont-ils pas en fleurs
Autour de ton cœur, pour toujours ?
Ils pleurent, vous pleurez, il le faut tellement !
Voyage donc, sinon avec l’orgueil au corps,
Du moins, jamais désespérée !